About Vêtements algériens
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Biologiste de development et enseignant à l’Université de Annaba, Farouk Khelfaoui voue une enthusiasm au patrimoine algérien, dont l’habit traditionnel, et s’est appuyé dans ses recherches avancées sur des travaux comme ceux de Leila Belaud, mais essentiellement sur la mémoire populaire ainsi que les peintures d’orientalistes crédibles, précise-t-il à l’APS.
Cette exposition comprend des costumes traditionnels représentant différentes régions du pays, à l'instar du karakou, de la chedda de Tlemcen, de la djebba Kabyle, la djebba fergani et de la blousa[143].
“Costumes d’Algérie” et “Algéroises, histoire d’un costume méditerranéen” fournissent ainsi une richesse de données précises sur le costume méditerranéen, algérois en particulier, même si l’auteur se réfileéré grandement aux archives occidentales, la as well as ancienne supply d’informations, souligne-t-elle, étant un texte espagnol datant de la fin du XVI siècle, tout en déplorant le manque d'”objectivité de l’idéologie coloniale” ainsi que le concept “réducteur” véhiculé.
Au cours du XXe siècle, la gandoura qatifa devient le principal représentant du costume traditionnel de fileête, avec son plastron couvert de rinceaux et de motifs floraux brodés au fil d'or et ses manches soulignées de fines broderies[65]. Grâce à sa forme évasée vers le bas, cette robe en velours peut accueillir des broderies abondantes.
La fibule, est ainsi absente de la parure de la Targuia. L'ensemble du costume garde toutefois l'allure d'un drapé grâce au voile qui l'enveloppe. Un pendentif en argent, appelé asarou n'seoul à trigger de sa forme de clé, aide à le stabiliser[a hundred and fifteen].
Le Karakou est une tenue traditionnelle algérienne portée lors des cérémonies de mariage et autres événements festifs.
Il porte aujourd’hui un projet baptisé The North African Streetwear (la method de rue d’Afrique du Nord). S’inspirant de certains practices traditionnels, il a créé une collection de vêtements avec des tendances algériennes et nord-africaines.
L’entreprise dispose de dizaines d’années de savoir-faire en modélisme, couture, broderie et tricot, ce qui leur permet de créer des vêtements traditionnels et modernes uniques.
En suivant ces directives, la longévité du karakou est assurée, permettant ainsi de préserver ce patrimoine culturel à travers le temps.
« J’ai toujours porté la robe kabyle, seulement son histoire est beaucoup plus riche que je ne l’imaginais. Avant de lancer Azar Dziri, je suis allée à la website rencontre des personnes âgées du village. Les grands-mères qui m’ont appris bien des choses.
Sa coiffe conserve la dlala, une pièce en velours, généralement rouge ou bordeaux couverte de sequins, de disques en or jaune et de perles baroques, placée à hauteur du entrance. Comme à Constantine, la chéchia pointue en velours garni d'arabesques brodées, se porte inclinée[72].
Le Karakou algérien s’est développé à travers un riche carrefour d’éalterations culturels, illustrant l’histoire et la diversité de ses influences.
Femme oranaise du XIXe siècle en djabadouli et chéchia conique. L'histoire du costume citadin en Algérie occidentale découle de l'addition de plusieurs histoires locales, parfois focalisées sur des périodes et des courants culturels distincts[42]. Les costumes d'Oran présentent beaucoup d'analogies avec ceux de Tlemcen[26].
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